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Et la Lorgnette vous rédige un délicieux article, tout frétillant d’épigrammes. L’auteur est aiguillonné, lardé percé à jour. Sa pièce est une œuvre sans nom, quelque chose de monstrueux et d’horrible, où l’absurdité donne les mains à la sottise, où le style et le bon goût ne brillent que par leur absence… et cela t’apprendra, maroufle, à cultiver la politesse !

M. Janin se complaît dans ce système. Il réussit de nos jours, à développer sa tactique sur une échelle immense. Arbitre absolu des destinées théâtrales, il les règle à sa fantaisie et les fait pivoter sur la pointe flexible de son caprice.

On doit, si l’on veut obtenir ses bonnes grâces, être continuellement à