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l’époque où nous sommes de son histoire, il meurt d’envie d’avoir un chien. Toutes ces pensées, toutes ses expressions portent le cachet de cette fantaisie.
« Un chien ! cela bondit, cela pleure, cela rit, cela joue avec vous et comme vous ! »
— Mais, dit la vieille tante, si tu achètes un chien, le propriétaire nous donnera congé.
— Bah ! répond l’intrépide partisan de la race canine, nous déménagerons !
Ce n’est plus un désir, c’est une rage.
Il court au marché aux chiens. Son cœur tressaille aux aboiements multiples qui se font entendre ; il s’émerveille, il palpite, il tremble de joie, en voyant autour de lui toute cette marchandise vivante, qui grogne, qui jappe, qui