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« Ma chère princesse,

« Veuillez avoir la bonté de remettre ce petit mot à M. Guizot, que vous verrez probablement dans la journée. C’est pour lui dire le sujet de la conversation que je désire avoir avec lui, et le prier de ne pas prendre, avant de nous avoir entendus, mon beau-frère le duc de Mortemart et moi, de décision sur une chose à laquelle nous attachons un grand prix.

« Agréez tous mes hommages les plus empressés,

« Le Duc de Noailles. »

Il s’agissait de la légation de Hanovre à donner à M. Palamède de Janson, neveu du signataire.