Page:Mirecourt - Gozlan-Champfleury, 1858.djvu/24

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Le titre principal du livre était les Influences. Embrassant tout d’abord un cadre vaste et défini, Gozlan se proposait de peindre tous les hommes qui exercent sur la société quelque action puissante, comme le notaire, le médecin, le juge[1], le député, le prêtre, etc.

Mais il crut devoir s’arrêter au second tableau, qui est le Médecin du Pecq.

Nous pensons que l’avènement de la Comédie humaine fut pour quelque chose dans cette détermination. Il céda la place à Balzac, son maître.

En 1837, parurent Socrate Leblanc,

  1. Un lecteur malin nous signale dans les œuvres de notre héros certaine diatribe violente contre le procureur du roi (style d’histoire ancienne), et nous prie de la reproduire. Elle commence ainsi : « Buffon, dans son immortelle histoire des carnivores… » Mais à quoi bon réveiller les procureurs Le roi qui dorment ?