Page:Mirecourt - George Sand.djvu/71

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Comme un malade qui a longtemps souffert, elle repousse les remèdes connus et s’adresse aux empiriques. Nous la retrouvons liée avec M. de Lamennais, qui venait de fonder le Monde.

Elle donne dans ce journal les Lettres à Murcie, où des sentiments dignes de Magdeleine repentante se heurtent à une foule de maximes hétérodoxes.

M. de Lamennais déteignait sur elle.

Au mois d’août 1837, nous avons un jour, rencontré ces deux illustres personnages sous une avenue de la forêt de Fontainebleau. Madame Sand était en robe blanche et en capote blanche, avec un châle à fleurs.

Quant au costume de M. de Lamennais et à sa tournure, il nous est impossible