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Qu’est devenue leur opulence ? Où se sont engloutis les trésors que leur prodiguait la débauche ? Ils sont retournés au vice.
« — Ma petite maison, maman l’a mangée ; mon frère Zidor a joué mes chevaux, mes châles, mes bagues… et feu mon père a bu le reste. »
En voici une qui, de sa calèche, est tombée dans le ruisseau.
Le passant lui fait l’aumône, et la reconnaissance de la malheureuse lui dicte ces paroles, bien capables de donner le frisson :
« — Charitable monsieur, que Dieu préserve vos fils de mes filles ! »