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des louanges accordées à Déjazet, prétendent que nous avons absous, avant le repentir, une piquante soubrette de la Comédie-Française, et déclarent que nous offensons la saine littérature et la saine morale en n’administrant pas assez de coups de verges à Paul de Kock.
— Voyez ! diront-ils, nous vous y prenons encore, et vous compulsez avec délice les albums grivois de Gavarni !
Le diable, se faisant ermite, ne pourrait afficher plus de rigorisme, ni se donner de plus hypocrites allures.
Tout beau, messieurs, tout beau !
Les personnages qui ont reçu nos éloges, qui les reçoivent ou qui les recevront, possèdent vos qualités absentes :