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De 1835 à 1840, il composa une première symphonie en fa, une seconde en mi naturel, vingt-quatre quintetti, et deux nonetti pour instruments de cuivre, douze mélodies pour violon et piano, et plus de trente romances, parmi lesquelles on peut citer le Chibouck, l’Égyptienne, le Bédouin, le Jour des morts et l’Ange rebelle.

Tout ce bagage, exclusivement mélodique, augmenta les clameurs.

Aucun théâtre ne voulut lui prêter de musiciens pour exécuter ses odes-symphonies, où, grâce à un programme poétique, appuyé par des tenues d’orchestre, il était parvenu à étendre le domaine de la description musicale.

Enfin l’ouverture du concert Valentino