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et suivi d’un hymne religieux dont Félicien David avait composé la musique.
Il écrivit à Ménilmontant vingt chœurs admirables, qui ont tous été joués plus tard dans différents concerts[1].
De midi à quatre heures, le dimanche, la foule curieuse était admise à visiter le cénacle. On venait entendre les saint-simoniens chanter ; on les regardait manger et boire. Ils n’interrompaient aucun de leurs exercices, et les femmes étaient éprises, sinon de la beauté de la doctrine, du moins de la magnificence des costumes.
- ↑ La musique de ces chœurs n’a pas été perdue. On y a adapté d’autres paroles ; ils font aujourd’hui partie d’une très-belle collection de chœurs à quatre voix d’hommes, qui se publie sous le titre de la Ruche harmonieuse.