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où la plume va puiser l’encre, qui s’épanche sur le vélin en doléances éternelles, pour retracer la misère du pauvre.

Il ne mentionne pas non plus la fourniture immense de fleurs naturelles, dont le vestibule et les galeries de ce magnifique séjour sont émaillés.

Chargée davantage au total que la note du parfumeur, celle du fleuriste monte à huit cent francs par mois, toujours économisés sur le chapitre de l’aumône.

Hélas ! Mimi Véron, qui payait tout ce luxe, fut singulièrement récompensé de ses largesses !

Après le Juif errant, Eugène Sue lui apporte les Sept Péchés capitaux. Notre pauvre docteur, feuilletant un jour le