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ces habiles qui, pour parvenir au pouvoir et se le partager, ont dit un jour au peuple : Tu es souverain !… Anathème et honte sur ces courtisans de popularité, qui, du milieu d’une oisiveté voluptueuse, spéculent sur les misères du pauvre, et l’excitent à la haine et à la vengeance ! »
Nous empruntons ces paroles à l’écrivain même dont nous venons de retracer la vie.
Elles sont terribles.
Ce n’est pas notre faute, si elles retombent aujourd’hui sur sa tête, avec la pesanteur d’une malédiction.
FIN.