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dépassés. Brid’oison se dit quelquefois à lui-même de ces choses-là.

Quant à la méchanceté de M. Dupin, si le journal que nous citions tout à l’heure ne veut pas y croire, il a tort.

Nous aiguisons parfaitement nos flèches, nous savons quelles blessures elles doivent faire.

Prenons au hasard quelques exemples.

En 1828, M. Dupin s’écriait :

« Ne vous y trompez pas, je parle de ce grand citoyen que nous appelons Portalis père, comme les Romains disaient Caton l’ancien ! »

M. Portalis fils, alors garde des sceaux, resta cloué sur son banc par cette phrase insolente. Il ne pouvait répondre sans af-