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nel, que j’ai défendus quatre fois… etc., etc. »

Voilà, certes, une magnifique et solennelle tirade.

Montons au Capitole et rendons grâce aux dieux !

Seulement, puisque nous permettons à M. Dupin de chanter sa louange, il est assez juste de lui signaler, même dans cette période splendide de sa vie, quelques-unes de ces inconséquences dont nous parlions tout à l’heure. Elles ont malheureusement contribué à le faire descendre de son piédestal.

Aujourd’hui vous êtes connu, maître Dupin.

N’essayez pas de cacher vos ficelles,