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Dix années après (nous sommes loin des pages héroïques), on vit avec surprise M. Dupin assister au convoi du procureur général Bellart[1].

— Que voulez-vous ? répondit-il à ceux qui lui en faisaient reproche : il y a si longtemps que les défenseurs du maréchal ont envie de réciter le De profundis pour ses bourreaux !

Chez nous une réponse adroite sauve un homme.

Toujours est-il que M. Dupin ne devait pas plus apparaître là que M. de Girardin sur la tombe d’Armand Carrel.

Voilà ce que nous signalons comme une preuve du défaut de tact et de l’inconséquence du bourgeois.

  1. Accusateur du maréchal Ney.