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soin qu’on avait de sa science, et l’on n’oubliait ni Gernamicus ni Tibère.

Nous devons le dire ici, le malheur de M. Dupin est d’avoir fait des excursions en dehors de la magistrature.

Les dragées politiques tentaient sa gourmandise.

Il voulut d’abord en goûter quelques-unes, puis il s’affrianda et se mit à croquer la boîte entière.

M. Dupin était né pour être magistrat, pour rester magistrat.

La robe, dans notre société moderne, obtient toute la considération dont elle est digne, parce qu’on la voir rarement sortir du temple de la justice et balayer les antichambres.

Pourquoi M. Dupin n’a-t-il pas imité