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déplaise à ceux que le renseignement désillusionnera.
Déjazet, hors du théâtre, est gaie quelquefois, spirituelle souvent, décente toujours.
Elle est d’une sobriété de colombe et ne boit que de l’eau.
À aucune époque on ne l’a vue souper ni passer les nuits au bal.
Ses uniques débauches sont des débauches d’esprit. Elle a dans la réplique une finesse adorable, un à-propos ravissant.
Par malheur, le langage un peu libre usité dans les coulisses ne nous permet guère de reproduire, comme ils ont été dits, une foule de mots délicieux, auxquels nous ôterons beaucoup de charme en les