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— Sans doute. Vous devez le connaître ?

— Je ne l’ai vu qu’une seule fois, chez Perrotin… il y a bien longtemps. Comprenez-vous cela ? moi, Frétillon, je connais à peine Béranger.

— Si vous désirez que je vous présente…

— Vraiment oui, sur-le-champ, sans retard… Quel bonheur ! cria Déjazet, battant des mains avec joie.

Son compagnon entra pour annoncer à l’ermite de Passy que mademoiselle Déjazet demandait à lui faire visite.

Chose incroyable ! Béranger n’avait jamais assisté aux représentations du Palais-Royal, bien qu’il eût plus d’une fois éprouvé le désir d’aller voir le charmant