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je n’accepte d’une manière absolue ni vos idées ni vos jugements.

Agréez, je vous prie, mes plus respectueuses salutations.

Eugène de MIRECOURT.

P.-S. Quant à ce que vous appelez fort spirituellement ma prose de réquisitoire, permettez-moi de vous dire, madame, que la manière dont vos amis entendent le droit et la liberté ne m’a jamais permis d’obtenir l’insertion de mes réponses autrement que par sommation légale.

E. de M.