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qui était le plus du goût du prince, et qu’il avait apprise par cœur, elle se termine par ce vers :
« N’achevez pas, noble étranger !
Le duc d’Orléans aimait beaucoup les artistes. Il était jeune ; tout s’excuse avec cette raison d’âge.
Mais déjà les lettres et les arts avaient trop de propension au matérialisme pour qu’on les autorisât de si haut à marcher dans cette voie.
Depuis longtemps la Revue des Deux-Mondes s’était aperçue qu’elle ne spiritualiserait jamais l’auteur des Contes d’Espagne et d’Italie. Peut-être le sermonnait-elle mal ou rentrait-elle un peu dans ses doctrines.