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La baronne Hopen
Que c’est beau !
Madame Boniska
Que c’est poignant !… Ah ! Byronnet, comme vous connaissez le cœur des hommes !
La baronne Hopen
Presque autant que le cœur des femmes…
Madame Boniska
Jamais je n’ai été tant émue… Ah ! Byronnet !… Byronnet !
La baronne Hopen
Je suis affolée, Byronnet.
Byronnet
C’est que je fais de la chimie masculine aussi… Mais écoutez ceci : (Il lit.) « Sous la rose pâleur des roses abat-jour, dans l’espace rose que laissaient vide les grandes bougies de cire rose, les cache-pots d’argent, garnis d’orchidées, étaient reliés entre eux par des guirlandes de frissonnants bluets… »
Madame Boniska
Oh !… oh !…
La baronne Hopen
Aïe !
Byronnet
Quoi ?… Qu’avez-vous ?