s’incline. Arrêtant le valet de pied.) Mais, avant tout, dites à Frédéric de venir me donner mes vieilles pantoufles.
Le valet de pied, qui a apporté les chaussures, aide Biron à les mettre. Lerible rentre.
À nous deux, papa Lerible.
Monsieur Biron, qu’est-ce qu’il y a donc ?
Nous allons voir si vous êtes un homme, Lerible. (Il le prend par un bouton de sa redingote.) Si je vous proposais de reprendre… pour de bon cette fois… le Foyer ?…
Le Foyer ? Je ne dis pas, monsieur Biron, je ne dis pas.
Ah ! nous n’allons pas recommencer à discuter la combinaison ! Vous prenez toutes les dépenses à forfait… on vous les garantit… Qu’est-ce que vous risquez ?
Sans ça, parbleu !
Et le travail des petites vous appartient. (Lerible regarde Biron, sourit.) Allons donc ! Je sais bien que vous en grillez d’envie !
Mon Dieu !… Mais nous ne pouvons rien faire sans M. le baron Courtin ?