leurs fentes, tout était à sa disposition. Ce
que je voyais depuis une demi-heure excitait
en moi un feu, une émotion que je n’avais
jamais sentis ; leurs caresses recommencèrent
avec plus de vivacité ; il les fit mettre
toutes deux couchées sur le ventre au pied du
lit, en leur faisant écarter les cuisses. Je découvrais
parfaitement tout ce que Courbelon
voyait ; il examinait, baisait leurs fesses,
enfonçait un doigt de chaque main entre leurs
cuisses. Son instrument était revenu dans le
premier état où je l’avais vu, et comme Justine,
le visage appuyé dans ses mains contre
la couverture, ne pouvait le voir, il avait commencé
de l’introduire à Isabelle, quand tout à
coup Justine en défiance se leva furieuse et
prenant ma cousine par les jambes, elle la
retira et démonta Courbelon. J’en fus très
fâchée, car je voyais cet outil prendre sa route
à grands pas !
— Non, lui répéta-t-elle, cela ne sera pas ; je vous en ai dit cent fois les raisons, c’est une nécessité de s’y conformer.
Comme je pouvais entendre aussi facilement que je voyais, aucun des mots, aucune des expressions ne furent perdues.
— Viens, mon cher, dit Justine, en le prenant par son instrument, viens mettre ton vit dans mon con ; ils se connaissent, et tu ne risques rien avec moi !
Mais elle manqua son coup, car, le tenant toujours par là, elle lui donna deux ou trois