de l’autre main tenant ce pieu qui conservait
sa grosseur, l’entraîna sur elle ; elle fut bientôt
troussée, il se coucha sur son ventre, et de
ses deux mains il tenait ses tétons qu’il baisait,
et les mouvements de reins et de cul que
je lui voyais faire, me firent juger qu’il lui
enfonçait ce membre que j’aurais voulu voir
entrer. Ma cousine passa sa main par derrière
entre les cuisses de Courbelon, ou pour
le caresser, ou pour juger de l’enfoncement.
Je les vis alors s’agiter, se remuer avec fureur :
bientôt Courbelon, après des transports et
des mouvements qui m’étonnaient, se laissa
aller, et je le vis retirer cet instrument humble
et bien diminué de longueur et de grosseur.
Ils se reposèrent quelques moments sur le lit,
mais les baisers et les caresses allaient leur
train. Cette première scène, qui m’avait
vivement émue, ne tarda pas à être suivie
d’une autre qui me plut encore davantage.
Courbelon, impatienté de leurs habillements qui les gênaient, et sachant que ma tante ne reviendrait pas de sitôt, les mit bientôt dans l’état où il désirait les voir : en peu d’instants, elles furent toutes deux nues. Justine n’était pas d’une figure aussi jolie qu’Isabelle, mais elle gagnait dans la situation où il les avait mises ; son corps était plus blanc, elle était plus grasse et potelée ; il leur imprima plus de cent baisers à l’une et à l’autre ; il prenait leurs culs, leurs tétons,