s’empara de son vit ; lui, de son côté, glissant
la sienne sous ses jupes, se saisit de son con.
Ses jupes à demi soulevées ne laissaient rien
apercevoir encore ; mais relevant un genou,
elle facilita la découverte de ce centre de
plaisir. Cette vue les anima de telle sorte,
qu’ils l’entourèrent, l’un lui prenant une fesse,
l’autre une cuisse, un autre les tétons : chacun
en tenait un morceau ! Rose faisant relever
Vernol, leur demanda, en leur montrant son
vit qu’elle tenait, s’ils pouvaient lui faire voir
quelque chose de pareil. Chacun mit aussitôt
les armes à la main ; elle eut alors le spectacle
enchanteur à ses yeux, de voir à la fois cinq
vits bandés, fiers et menaçants, qui lui proposaient
le combat, quoique certains d’être
vaincus.
Rose aussitôt se relevant et s’asseyant sur le lit, les genoux relevés et écartés, le lieu de la joute totalement à découvert, et présentant la bague :
— Je pourrais, dit-elle, décider la question au coup-d’œil ; mais puisque je dois juger, je veux y procéder avec tout le scrupule possible, et même y joindre, s’il le faut, une mesure qui m’est propre ; cependant, commençons !
Elle les fit ranger tous cinq, en leur faisant mettre toutes pièces à découvert, et prenant son lacet, elle les mesura avec la plus grande exactitude, tant en longueur qu’en grosseur, soupesant même avec attention leurs dépendances ; le maniement de tous ces vits fit une