vit de Vernol qui allait et venait, ses couilles
qui se balançaient, formaient un spectacle
enchanteur pour elle, qui produisit un tel
effet sur ses sens, que dans le même temps
que nous mîmes à chercher le plaisir pour le
savourer, Rose avait déjà ressenti quatre fois
ses attraits ; quatre fois ses élancements et
ses transports, ses expressions : « Je me
meurs, je décharge ! » nous en donnèrent des
preuves certaines ; enfin nos fouteurs de
dessous se réunissant, Rose reçut, dans un
cinquième et copieux épanchement de sa
part, le foutre dont mon papa l’inonda. Leur
plaisir excitant le nôtre, nous jouîmes presqu’en
même temps qu’eux de ces enchantements
que nous nous hâtions d’atteindre. Rose
se mourait ; si elle chérissait le plaisir, celui-ci
ne la fuyait pas ; elle en ressentait les effets
trois et quatre fois contre nous une ; son con
était une source de foutre ; il lui causait un
plaisir si vif, qu’elle pinçait et mordait toutes
les fois qu’elle le répandait. Enfin elle tomba
dans cet état d’anéantissement où l’on ne
connaît et ne sent que l’excès des sensations
délicieuses qu’il procure. Dès qu’elle en fut
revenue, elle fit tant d’éloges de cette attitude,
que je voulus jouir à mon tour de la
même perspective ; aussi, dès que nos forces
furent rétablies, nous n’y changeâmes presque
rien : je pris seulement la place qu’elle occupait,
elle se mit sur moi, Vernol la foutait.
Ma tête entre leurs cuisses, je voyais tous
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LE RIDEAU LEVÉ