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bouche… (Ah ! sacredieu, c’est du vernis tout pur.) Ne joue pas, continua-t-elle, cause avec ma nièce, tu sembleras être son amant… (Ah ! charmante vieille ! l’aurore de l’amour vient me luire ! Que je t’embrasse de bon cœur !… mais foutre ! la peinture !) et nous nous rejoindrons quand ces importuns seront bannis.

Mon supplice est donc retardé… Nous entrons au salon ; nombreuse compagnie s’y rassemble, et pendant que Julie et sa tante arrangent les parties, moi je réfléchis.

Amour ! amour ! tu viens donc encore me décevoir, m’égarer, me percer ! dieu cruel ! n’ai-je donc pas été assez long-temps ta victime ? Veux-tu te venger ? Quel rôle vas-tu m’imposer ? Objet du caprice d’une hideuse vieille, la beauté, les graces feront mon tourment ! Hélas !… enfant trop aimable !