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vous rêvez. — Hélas ! — Vous ſoupirez… Agnès ! Agnès ! vous n’avez point de confiance en moi… moi qui vous aime tant. — (Ses joues ſe colorent.) Vous m’aimez ! … Oh, mon dieu, ſi cela étoit ! — Agnès, ſeroit-ce vous offenſer ? Hélas ! ce n’eſt pas ma faute, vous êtes ſi aimable ! (Je prends ſa main.) — Oh ! laiſſez-moi… Sainte vierge, (Elle ſe leve.) — Ma ſœur, je le vois, vous avez peur de moi ; je vous ſuis odieux… Eh bien, je me retire. — Comment, tu t’en vas ? — Foutu bête !… La pauvre enfant, elle eſt à moi ; je n’avois pas le tems de la pouſſer à bout ; à la premiere ſéance, elle eſt dans mon ſac.

La maîtreſſe des novices me fournit quelques jours après une bonne