Page:Milosz - Poèmes, 1929.djvu/28

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Soir de jadis naïf, doux comme un qui cuve
Son vieux vin de l’an vingt près d’un feu léger.
— « Et puis vous savez, je suis si distrait ! — J’ai
Oublié de jeter moi dans le Vésuve. »