Page:Milosz - Poèmes, 1929.djvu/121

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Ô mains comme un pain céleste rompu en deux ! Oh ! tes yeux si… tes yeux ! tes yeux ! C’est comme si mon âme avait déjà quitté la terrestre livrée. Qui donc a dit cela : Heureux, heureux amants. Le Rien dans son souffle inspiré me retient suspendu sur la montagne des Dormans. Mes chaînes de constellations sont rompues.


BÉATRIX

C’est la vie délivrée.