Page:Milosz - Poèmes, 1929.djvu/105

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

C’est ainsi que j’appris que le corps de l’homme renferme dans ses profondeurs un remède à tous les maux et que la connaissance de l’or est aussi celle de la lumière et du sang.

Ô Unique ! ne m’ôte pas le souvenir de ces souffrances, le jour où tu me laveras de mon mal et aussi de mon bien et me feras habiller de soleil par les tiens, par les souriants. Amen.