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CHAPITRE V

APPLICATIONS

Les principes proclamés dans cet ouvrage doivent être admis plus généralement comme base pour une discussion de détails, avant qu’on puisse essayer avec quelque chance de succès de les appliquer aux diverses branches de la politique et de la morale. Le peu d’observations que je me propose de faire sur des questions de détails, sont destinées à éclaircir les principes plutôt qu’à les suivre dans leurs conséquences. Je n’offre pas tant des applications que des échantillons d’applications, lesquels peuvent servir à jeter plus de lumière sur le sens et les limites des deux maximes qui sont le fond de cet essai : en outre ces applications peuvent aider le jugement à prononcer avec équité, toutes les fois qu’on ne sait trop laquelle des deux maximes appliquer.

Voici maintenant ces maximes : 1° l’individu n’est