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et ce qu’il trouva dans son cœur, à ce moment décisif, pour l’unité de la patrie, pour défendre lui et la France (ici c’était même cause) ? Personne ne l’a su, personne ne le retrouvera. Que l’histoire ici se taise et n’entreprenne point de l’imaginer. On ne sait que le dernier mot, mot très fort, où Danton alla loin, descendit, fit céder son orgueil : « Guadet, Guadet, tu as tort ; tu ne sais point pardonner… Tu ne sais pas sacrifier ton ressentiment à la patrie… Tu es opiniâtre et tu périras. »
fin du tome quatrième.