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FRANÇOIS Ier

le gouverneur du jeune Charles et profitant de ses embarras prochains pour la succession d’Espagne, contentant Henri VIII par l’appât d’un traité d’argent, est libre d’agir contre les Suisses, contre Maximilien et les restes de l’armée d’Espagne qui végètent en Italie. Venise, ruinée par la France, n’espère cependant qu’en la France. Florence, sous les Médicis, ne peut parler ; mais son silence parle.

« J’irai, soyez-en sûrs, dit le jeune roi aux Italiens, je veux vaincre ou périr ! »