unionis… Quis in re desperata suum libenter velit laborem impendere ? Ibit schisma Latinæ Ecclesiæ, cum schismate Græcorum, in incuriam atque oblivionem. » (Nic. Clemeng. Epist., t. II, p. 312.)
217 — page 319 — Jean Gerson…
Sur le tombeau de Gerson, et sur le culte dont il était l’objet jusqu’à ce que les Jésuites eussent fait prévaloir une autre influence, voyez l’Histoire de l’église de Lyon, par Saint-Aubin, et une lettre de M. Aimé Guillon, dans la brochure de M. Gence : Sur l’Imitation polyglotte de M. Montfalcon. Il n’existe qu’un portrait de Gerson, celui que M. Jarry de Mancy a donné dans sa Galerie des Hommes utiles, d’après un manuscrit.
218 — page 321 — À la prise de Meaux, trois religieux de Saint-Denis, etc.
« In horribili carcere cum vitæ austeritate detineri fecit. » — Le Religieux de Saint-Denis, sans être arrêté par les préjugés de sa robe, décide avec son bon sens ordinaire que, quoique moines, ils ont dû résister à l’ennemi : « Minus bene considerans quæ canunt jura, videlicet vim vi repellere omnibus cujuscumque status… licitum esse, pugnareque pro patria. » (Religieux, ms., fol. 176-177.)
219 — page 322 — Henri V charge l’archevêque de Cantorbéry et le cardinal de Winchester de percevoir…
« Exitus et proficus de wardis et maritagiis, ac etiam forisfacturas… Volentes quod H. Cantuariensis archiepiscopo, H. Wintoniensi cancellario nostro, et T. Dunolmensi episcopis, ac… militi nostro J. Rothenhale persolvantur. » (Rymer, t. IV, p. I, p. 150, 28 nov. 1415.)
Il fallait mettre Harfleur en état de défense…
Presse de maçons, tuiliers, etc., pour aller fortifier Harfleur. (Ibid., p. 152, 16 décembre 1415.)
220 — page 323, note 2 — Henri V reprochait au cardinal de Winchester d’usurper les droits de la royauté…
Voy. les lettres de pardon qu’il accorde. (Rymer, t. IV, p. II, p. 7, 23 juin 1417.) — Mais, tout vainqueur, tout populaire qu’était alors Henri V, il craignait ce dangereux prêtre. Il lui accorde une faveur le 11 septembre suivant, l’appelle son oncle, etc.
221 — page 326 — Les paysans souffrant des courses et des pillages du parti de Charles VII, etc.
C’est ce que disent du moins les historiens du parti bourgui-