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Chapitre XXII. — Le coup d’État. — Les résistances de Bretagne, Dauphiné, etc. — Convocation des États généraux (mai-août 1788).
La reine siège aux Conseils, y prend la voix prépondérante.
Tentations de violence. État de l’armée.
Écrasement du Parlement, Cour plénière, etc. Le roi n’aura plus de Conseil que ses domestiques (8 mai 1788).
Les pairs font une Déclaration des droits (3 mai).
Arrestation de d’Espreménil (5 mai).
Protestation des Parlements (2-9 mai).
Résistance de la Bretagne. Lutte de Rennes (10 mai).
Résistance du Dauphiné. Combat de Grenoble (7 juin).
La noblesse de Grenoble rétablit les anciens États. Vizille (27 juillet).
Toute la France suit le Dauphiné.
Vigueur du gouvernement, mais la troupe n’est pas sûre.
Le Grand-Conseil demande la tête de Brienne, menace le roi (19 juin).
Brienne convoque les États généraux (8 août).
Chapitre XXIII et Dernier. — Les fusillades de Paris. — Necker. — Cahiers. — Élections. — Mirabeau (août 1788-avril 1789).
Le roi appelle Necker, veut l’exploiter, garder son ministère.
Chute de Brienne et Lamoignon. Fêtes de Paris. Massacres (septembre 1788).
Faiblesse de Necker. Ménagements pour la Cour, l’aristocratie.
On convoque les Notables pour soutenir les privilégiés (décembre).
Le coup de Sieyès : Le Tiers est le tout.
La Noblesse recule, et s’avoue rétrograde.
Cruel hiver et famine.
Le roi n’ose refuser le doublement du Tiers (27 décembre 1788).
Caractère équivoque du Règlement d’élection (24 janvier 1789).
Violente lutte pour l’élection de Mirabeau.
Mirabeau sauve la Provence, triomphe ; prévoit la tyrannie.
FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES DU TOME SEIZIÈME.