Page:Michelet - OC, Histoire de France, t. 14.djvu/422

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Pages
Le cœur tendre et doux de Voltaire. Son faible poème, alors très hardi. 
 384
Douceur et humanité de Montesquieu. D’autant plus terrible au passé. 
 385
Il part de l’écart absolu, ne compose pas, comme l’abbé de Saint-Pierre, avec le vieux monde. 
 386
Solitaire en pleine foule, émancipé par les sciences, les législations comparées, la lecture des voyages. 
 388
Hauteur de son point de vue. 
 389
Légèreté et désordre apparents de son livre, très profondément calculé. 
 392
Sa prédiction de la mort prochaine du catholicisme. 
 394



Chapitres I et II. — Du beau début de la Régence. Le parti espagnol la paralysait. 
 395
Chapitre II. — De Saint-Simon. 
 397
Chapitre II. — Des réhabilitations de Dubois. 
 398
Chapitre IV. — La duchesse de Berry. 
Chapitres I, VI, XXI. — Sur l’Espagne et la cour de Madrid. 
 399
Chapitre III. — Mademoiselle Aïssé. 
 400
Chapitre VII. — Génie de Law, etc. 
 401
Derniers Chapitres. — Sur la fin de Dubois et du Régent. 
 403
Dernier Chapitre. — Montesquieu. L’Orient. 
 404


FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES DU TOME QUATORZIÈME.



IMPRIMERIE E. FLAMMARION, 26, RUE RACINE, PARIS.