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DESTINÉE DE LA RACE CELTIQUE
voit passer le tartan et la claymore. Ils disparaissent, ils émigrent ; la cornemuse ne fait plus entendre qu’un air dans les montagnes[1] :
« Cha till, cha till, cha till sin tuile : »
Nous ne reviendrons, reviendrons, reviendrons
Jamais.
- ↑ Logan.