Le Père-Lachaise sera mon lieu de prédilection. — Une note importante. — Ce matip, en suivant la longue allée. — Pour m’arracher à moi-même. — Poinsot m’entraîne. — C’était Lorrain ! — Travail et tristesse. — M. Bocher m’ayant écrit.... — C’est à ces moments où ma douleur se réveille... Ah ! ces heures attristées ! — M. Villemain me semble injuste pour Rabelais. — Rien que le travail. — Lorsque le temps est beau. — Mes lectures favorites. — Comment celui qui est privé de tout lit un roman. — Sa
sœur est venue me prier de l’aider à planter un saule. — Le soir une fièvre violente me saisissait. — J’ai dû aller faire estimation de ses livres... 171
Ce matin j’ouvre ma fenêtre. — On ne pense jamais à tout. — J’avais emporté Horace. — Pourquoi le printemps revenait-il ?
— Où est-il maintenant ? — A qui raconter ces
songes étranges ? — Son âme erre peut-être encore. —
Nous serions de petits mondes en formation. — Les lendemains
de ces nuits où Poinsot m’apparaît. — Long
entrelien avec M. Bocher. — En quittant cet homme heureux.
— Les rayons et les ombres : Paysage. — Hier
Poret est arrivé. — Je ne puis me renfermer, me murer.
— Une lecture pour la fin de la journée. — J’aime à regarder sur ma route les vieilles gravures. — Je lisais ce matin une lettre de Descartes. — Le jour de Pâques. — L’Église s’est montrée intelligente. — Pourquoi la fêle des Morts ne suit-elle pas la fête de la résurrection ? — Je n’éprouve plus qu’un seul besoin, remuer des idées.
— Le roman que je voudrais écrire... 185
Baptême du duc de Bordeaux. — Promené sous les allées du bois de Vincennes, — Le seul moyen de tirer un bon parti de mes lectures. — Traductions de l’Évangile. —