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II
TABLE.


Delphine et suis monté à Charonne. — La lecture des romans ne me vaut rien. — Une séance d’anatomie. — M. Bocher voulait me parler de ses fils. — Ciel voilé. — C’était tout intime. — On sentait Dieu à portée. . . 92


Octobre.


Mon âme ce matin était sans ressort. — Le rêve de la Laitière et du pot au lait. — Habitudes matinales à prendre. — Son amitié m’éclaircit les ombres. — J’ai grand besoin que. les vacances finissent. — Où est la délicieuse mélancolie ?... — a Que dois-je être ? » — Solitaire et sans appui. — Voici les premiers brouillards de l’automne. — Un livre à faire sur lemploi de l'argent. — Contre la mendicité. — Le devoir de l'État. — Il n’y a pour Poinsot ni Bicêtre ni la Salpêtrière. — Je vis un petit garçon qui battait un cheval sur la bouche : — Ce matin j’ai déjeuné tout seul. — La correspondance de Voltaire. . . 105


Novembre.


Le jour des Morts. -— Proposition faite par M. Leclerc. — Inquiet de Poinsot. — Influence périodique des saisons sur Michelet. — Le Jardin des Plantes en automne. — M. Villemain. — Querelle avec Poret sur la valeur de lIntention. — Celui qui croit la messe bonne et n’y va pas. — Toujours des alertes. — Dieu veuille que ces changements réussissent. — J’ai couru à Saint-Louis. — MM. Villemain et Dussault des Débats. — Chez Mlle Montgolfier avec Blanqui. — Coquetterie innée chez la femme. . . 115


Décembre.


L’état de Poinsot s’aggrave avec la mauvaise saison. — L’éditeur Lefèvre. — J’étais bien forcé de me dire que la littérature est le luxe de la vie. — L’aloés du Brésil. — Ce qu’on gagne moralement à faire des traductions. — Poinsot que je n’avais pu aller voir. — L’hiver déjà si sombre, s’obscurcit de ces pensées de deuil. — Une leçon de philosophie prise dans mon jardin. — A quel