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L’ESCOLE DES FILLES.


dites, c’est alors qu’il le fourre dans le trou de la fille ?

(16) Susanne. Vrayement ouy, car il ne le pourroit autrement, mais c’est encore un autre plaisir de voir la peine qu’il se donne pour le faire entrer, car cela n’entre pas tout d’un coup, comme tu pourrois imaginer, mais petit à petit, et le garçon est quelquefois tout en eau avant que le tout soit dedans, à cause que le trou de la fille n’est pas assez large, et c’est là encore où il y a du plaisir, parce que la fille sent l’engin du garçon qui l’entr’ouvre à force et qui frotte fort contre les bords du con, ce qui la chatouille doucement et voluptueusement.

Fanchon. J’aurois peur, au contraire, que cela ne luy fist du mal.

Susanne. Point du tout, mon cœur, et cela luy fait grand bien. Il est bien vray que le premier coup de vit que l’on luy donne, en le luy mettant dedans, elle sent une petite cuisson, à cause qu’elle n’y est pas accoustumée, mais par après, cela ne fait plus que chatouiller et exciter le plus grand plaisir du monde.

(17) Fanchon. Et l’engin de la fille, comment l’appelez-vous ?

Susanne. Je l’appelle un con, et quelquefois il s’entend par le bas, le chose, le trou mignon,