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L’ESCOLE DES FILLES


après entre les poils de ma rouge motte, et puis incontinent après il vint au trou mignon.

Susanne. Eh ! là donc, je n’attendois que cela.

Fanchon. Il me prit, dis-je, par le con, où il s’arresta quelque temps, me pressant les deux babines l’une contre l’autre et quelquefois passant les doigts entre les poils qui sont dessus la motte, laquelle il empoigna aussi, faisant par ce moyen entr’ouvrir la fente de ma nature. Après, il me fit rebuter un peu en arrière, et passa les genoux entre les miens, et soulevant un peu le cul, dévala son haut de chausse, et ayant rangé sa chemise, il prit son affaire dans sa main et me fit approcher.

Susanne. Or c’est icy qu’il faut bien prendre garde.

Fanchon. Je sentis cela roide contre la motte, et je cognus qu’il le vouloit mettre dedans. Il m’ouvrit premièrement les deux babines avec les deux mains, et poussa deux ou trois coups assez fort et m’eslargit beaucoup, mais il ne put entrer davantage, parcequ’il me fit mal, et fut obligé de s’arrester un peu, à la prière que je luy en fis. Et s’estant un peu mieux rajusté que devant, il me fit plus ouvrir les cuisses et poussa son affaire un peu plus avant, mais je le forçay encore de s’arrester. Il me disoit bien que je prinsse patience, que ce n’estoit