éléphants, des chameaux et des ânes. 5. Et tous les taureaux les craignirent et en furent effrayés; et ils (les éléphants, les chameaux et les ânes) se mirent à mordre de
leurs dents et à dévorer et à frapper de leur cornes. 6. Et
ils se mirent donc à dévorer les taureaux, et voici : tous
les enfants de la terre commencèrent à trembler et à
s’épouvanter devant eux et à s’enfuir.
1. Et je les vis de nouveau qui commençaient à se frapper l’un l’autre, et à se dévorer l’un l’autre, et la terre se mit à crier. 2. Puis j’élevai de nouveau mes yeux vers le ciel, et je vis en vision, et voici : il sortit du ciel des êtres semblables à des hommes blancs, et quatre sortirent de ce lieu, et trois (autres) avec eux. 8. Or ces trois qui sortirent en dernier lieu me prirent par la main, et m’en-
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Q omet a et je vis en vision ». A omet « du ciel ». G et le 2^ groupe : « et un sortit, » à cause de la ressemblance
des chiffres 1 et 4 en éthiopien. -6. Cf. supra, vu, 3-6. LXXXVII y 2. Des hommes blancs. Ces hommes représentent les anges fidèles. Les quatre anges qui sortent sont, d’après ix, 1 : Michaël, Uriel, Raphaël et Gabriel, lxxi, 9 et 13, donne un autre groupe de quatre anges : Michaël, Gabriel, Raphaël et Phanuel. xx , 1-8 compte sept anges saints qui veillent : Uriel, Raphaël, Raguel, Michaël, Saraqiel, Gabriel, Remeiel. Cf. lxxxi, 5. . Les trois derniers se retrouvent au xc, 31. — Une tour élevée. Charles (p. 230, note) pense que cette tour est le paradis, et que les Lxxxiii-xc supposent une conception de sa localisation et de ses habitants qu*on ne retrouve pas ailleurs dans le Livre d*Hénoch. Dillmann et Béer voient dans la tour, la représentation du paradis terrestre.
