Page:Michel Corday - Charlotte Corday, 1929.djvu/215

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Les nouvelles arcades du Palais-Royal. (Page 114.)

Ces arcades et les bâtiments qu’elles supportent avaient été achevés en 1786. Elles n’ont pas changé. Les galeries de Bois, installées en 1786, abolies en 1830, occupaient l’emplacement actuel de la Galerie d’Orléans. On n’a pas recherché le coutelier qui vendit l’arme à Charlotte Corday. On suppose que c’était, à l’Arcade 177, le sieur Badin.


Simonne Evrard, la compagne de Marat. (Page 116.)

Simonne Evrard avait, pour ainsi dire, recueilli Marat par admiration pour lui. Elle avait vingt-sept ans, il en avait cinquante. Elle était sans beauté, mais d’une tenue parfaite. L’appartement de la rue des Cordeliers était à son nom. Marat lui avait, par reconnaissance, promis le mariage. Voici par quel curieux acte il s’y engageait :

Les belles qualités de Mademoiselle Simonne