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Une grande Revue fut annoncée par voie d’affiches. (Page 96.)

Le ton de cette affiche est curieusement ironique. Elle confondait dans un même mépris les maratistes et les aristocrates. On y lisait : « L’Assemblée arrête à l’unanimité que la générale sera sur-le-champ battue, que les bataillons de la Garde nationale de Caen se rassembleront sur le Cours National pour trois heures d’après-midi, et, comme il s’agit de former un bataillon pour combattre l’anarchie et les anarchistes en volant au secours de nos frères de Paris, les Aristocrates et les Maratistes sont dispensés de se trouver à ce rassemblement… »


La lettre de recommandation de Barbaroux… (Page 100.)

Elle était ainsi conçue :

Caen, 7 Juillet 1793, l’an II de la République,
une et indivisible.

Je t’adresse, mon cher et bon ami, quelques ouvrages intéressants qu’il faut répandre.