aux autres. Ces mélanges furent tellement employés qu’il n’est pas rare de les trouver dans la gravure même du fer, qui est traitée alternativement en pointillé et au trait.
Quelques relieurs de ce temps nous ont aussi laissé de beaux spécimens ; mais, en général, ils abusèrent trop des roulettes, dont le Gascon n’usa, lui, qu’avec une réserve extrême. Sentant bien qu’ils n’étaient pas de taille à lutter avec le maître, ils essayaient de rendre par ce procédé rapide et facile leurs dorures aussi riches que les siennes. Les collections que nous avons déjà citées, de Mazarin, de Colbert, de Condé, celles de madame de Longueville et de Louis XIV, contiennent beaucoup de reliures dont les plats portent deux ou trois cadres de roulettes.
Si quelques-unes de ces reliures sont encore d’un bel