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pas s’en rapporter aux voyageurs qui ne font que passer, ni aux diplomates qui ont beaucoup d’autres choses à faire. Tout le monde a les yeux aujourd’hui sur l’empire, ottoman ; les cabinets des rois, pour profiter de ses dépouilles, y envoient leurs ambassadeurs ; pourquoi le monde savant n’y enverrait-il pas les siens.