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d’une prison. Je désire toutefois que M. le prince de Polignac trouve ici l’expression des sentimens qui m’attachent à lui et qu’aucune révolution ne saurait affaiblir ; je m’estimerais heureux si j’avais pu lui apporter des contrées lointaines d’Orient, je ne dis pas une joie mais une distraction, et la meilleure fortune que je puisse souhaiter pour mon livre et pour moi serait occuper pendant quelques heures les studieux loisirs de sa captivité.


MICHAUD.