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venez me trouver dans mon village de Chirkingé ; là, ma demeure sera la vôtre, et l’hospitalité sera plus douce pour vous, car Aia-Solouk n’a que des pierres, et je n’ai rien ici d’agréable à vous offrir. » Ce touchant adieu et cette expression de la plus noble politesse m’ont vivement ému. J’ai bien promis à Osman de garder son souvenir ; je le reverrai, j’espère, à Chirkingé, quand je repasserai dans le pays d’Éphèse pour aller chercher aux bords du Méandre des traces de Louis VII et de ses chevaliers.

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