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fana ! et d’étudi•r les ressources qu elle pouvait olîtita laœlturailu thé. Sasanté éproura de nouvelles et rudes atteintes, ’rt après avoir fait au cap de D¤¤¤c-B¢|¤ël’a¤¤¤ un süour qui ne lui preeura pas de soulagement, il prit le parti de quitter’l’|nde pour toujours. Il revint au Analctem aüu d’y passer le reste de sa vie, en jouissant d’unu : po• qu’il avait bien mérité, at il mourut a res, le $8 avril 185£. Son caractère loyal et ses qualités lui avaient valu une justa considération ; comme botaniste, il s’est placé i l’un des premiers rangs. B-u—1·.

WAUJN (Gsoaœ ). savant suédois, né en 1686 à Guetle ou Guiawle (Genetic), dans le Nordlaud, était lib de l’évêque de cette province. i se lit un devoir de cultiver ses heureuses giîpositions (t). Après avoir achevé ses études à université d’Upsal avec beaucoup de succès, il parcourut les différentes contrées de l’Europe pour perfectionner ses connaissances. Il arriva vers la fin de 1720 à Paris, etil y passa deux années, recherchant la société des savants, visitant les bibliothèques, les cabinets des curieux, et notant tout ce qu’il y trouvait de remarquable. Il s’en retourna par Yallemagne et s’arrêta quelque à Witternltd’K» où il soutint deux thèses sur es questions théologiques. La nouvelle de la mort de son père bats son retour en Suède. Attaché d’abord a l’université d’Upsal en qualité de ur, il fut fait ensuite surintendant ’ ’ue du Gothland, etenfin évêque de Gothenbourg. George Wallin mourut en U60. On a de lui : l• De certis precandi /’or-· msdù, oararaaqau à rcèleaiis ams liaserlatio, Upsal, 1110, in-8o ; 2° Lutetia Parùiorum enidito ni tsoaporù, hoc ed assortis harjua acculi Il st Zi, Nuremberg, 1122, in-t$, volume rare, l’auteur l’ayant fait imprimer à ses frais pour le distribuer en présent à ses amis. On y trouve des détails sur les savants, les bibliothèques et leurs conservateurs, les journaux, et même les imprimeurs et les libraires de Paris. Wallin y témoigne sa reconnaissance i tousceux dont il avait reçu des secours pour ses recherches littéraires. 3° Iliatorüloacplaa ex datbicocodioc Itaa. bibi. regis Paricienaia, lst. carats, un anùruadvérsioiaibua, Leipsick, 17 !$, in-t• (2). J.-Alb. Fabricius s recueilli Ia version de Wallin dans le Code.: pmsdepigraplus t/’atsria Testanrati. ti 2, p. 309-336. P An sans sarèreaseî Wnttemberg, (723, in-4o. Il résout cette question parlaürrnative. 5° Ds prudeatia ia caurionsîas adhibenda, ibid., â’, ....·..’°*“g«’“à.’:.’3"£°·î" ;’J“i."·£’·.L’.1“¥£’««“...0..“"’“’M· ’îa xx il l, avec la réputation d’u¤ plilat •ertueux-at très-hgâ treavedenx lettres da Want : tâsacroae sur estouvraga,

W IH3, in-&• ; BP Da bis, ’ibid., HIS, Wallin s’y loue beaucoup de l’accueil qu’il avait ’ reçu à la bibliothèque de Sainte-Geueviève, et l parle avec éloge de la manière dont le service divin se célébrait dans l’église de cette abbaye ; mais il décriten protestant sélé les particularités de la vie de cette sainte, et révoque l’authenticité des actes originaux dont se sont appgyés les historiens de la patronne de Paris. L’a Cl. du Moulinet des Tmlleries a réfuté/les assertions de Wallin dans un mémoire resté manuscrit, que Itercier de St-Léger trouve solide et instructif (voy. Ivooieesar Selma, p. 98). 7° Disuruuio historiro-littsraria de arte tritheaiiana aeribeiidi per igaeao. Upsal, 1728, in-t•. Le sujet de cette thèse est fort curieux. B’Nrsplic arbonun dùserr., ibid., 1729, in-t• ; 9° Epiuala ad J.-Erb. Kappiuas lsjubilco Airgrutaaœ cosifesaionia anno $730, qiaalic celebrate, inséré dans Saaurplaag thailagiachersrrsjïea, H5 ; 10° l’Eloge funèbre deâpraseen/’sld, l’un des bienfaiteurs de la bibliothèque d’Upsal, Stockholm, N30. inst’ ; tt° Glaris nulnaphylacii rrruiri, site ratio gna inrelligi pouir nanorrrar rrraieoram scriprirra, imam œtas lorurque quüma olin ci¢si fueri1r¢, ai non abique reridma, adurodarns raaœn probabilù, ibid., 17L3, in-li°. rare. W—s.

WALLIN (Jem-Own), poëte et prédicateur suédois, naquit le lâ octobre 1719. ir Stora Tuna. dans la Daléearlie. Son père était ollîcier ; il tit ses études à l’université d’Upsal, et il montra de bonne heure de brillantes dispositions pour la poésie. Al’âge de vingt quatre ans, il avait déjà été couronné trois fois par l’académie de Stockholm. On trouvait dans ses vers de la grâce, de l’harmonie, de la facilité ; mais l’inspiration lui faisait défaut. En 1806, il embrassa la profession ecclésiastique, let sa muse prit alors une autre direction. Il traduisit les Psaumes, et il revit les chants introduits dans la liturgie luthérienne adoptée en Suède ; il rajeunit le style, il ajouta des morceaux de sa composition ; son travail fut accueilli avec beaucoup de faveur. En 1810, Vacadérnie suédoise l’admit au nombre de ses membres. Comme prédicateur, Wallin se lit remarquer par son énergie et son éloquence. En l8ll, il fut chargé de l’instruction religieuse du prince (bear. En 1821, il fut nommé premier desservant de la grande église de Stockholm ; en 1825, évêque d’ordre (Ordeaabischof) ; en 1830. pramiehprédicateur de la cour et président du de la cour. En 1833. il fut promu à L l’archevêché d’Upsal. Il mourut dans cette ville, le 30 juin 1830. Depuis 18t !. il assista à toutesj t les diètes comme député de l’ordre du clergé. Il ltzait publia, da IB 7 a 183t. trois volumes da ttes sur des sujets religieux. Ses seraioas furent recueillis après sa mort, également en trois votuineuune secondeéditiona-paraen IBM. ül (Burns paüiqusa ont de ruèlpa été