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" · Q ’ •· * à • T 4 " ’ I, ’ - ’ ’ N ! É 2 M | ( ’ · i’g· 1 · quelle ualsurshommeule lamèuae’feariou se sontplégalanent litre (o•y.ceno¤), ildèl’•¤lltlapopillonsd••uumaftre cllqlea Ullquasqulea eauykht de la ïrtia Qdtgl ln|ud#I autre autres de rtin ce nom), et pululiaï ce sujet : l• Ouutio panneau ejplibua sonerie pleure a»rù’«·io :¤·, ’l7H, in-t•. lontaguat expose dans cette thèse la doetriue tlclferreiusnr laœusede lavoir. On en ltrouve un extrait dans le Journal du Sarah de la n ème année. !•Leur¢ àll.l’alHnnafoa¢aia¢e, ou Répeneri la critique de ll. Borloia, incentinmu ù’H, ·Frrria. sur la’foràe ; ioa de la soir, 1715, ·in-l-i’E 3° l’rf•iq-e§sr••«r¢ïei• forme Te ferrme§H.8¢rtâ•, usaietlealdrouierteagur le hrreia efairaa lu aréeaaianr le le-oeig-J¢ I’lu••••, Paris, ING, indi ; 9 Leroy è I. Bp-, lia, nsajet les noueeaugeare Je oaiaaraasümmm bas le corps Iwaain. Paris, 1115, iu-lt. — Mademoiselle Anne Ibntagnat, de la même famille, ’ètait mère deloseph Michaud, auteur de l’I !ieooire du Croisade : (voy. ce nom). P-ar.

IONTAGNB (Jacques os), ne au Puy en Velay, vivait du temgde la Ligue, et fut religionnaire modéré. Il à entre dans la carrière du barreau, fut reçu en 1555 avocat général à la cour des aides de Immiw, et pourvu en 1516 d’une tharge de prési en cette cour, dont il fut aussi garde du sceau. Il composa [Histoire de l’Barop¢. Il nehous reste de ce grand ouvrage inédit, qui commençait a l’an low et qui ûnis sait’a l’an 158’I, que la dixième partie tout au plus, qui consiste eu cinq gros volumes in-4o ; esquels avant la révolution étaient parmi les manuscritësbâltu duc de Coaslânùéggue de Metz, mis en par ce at îothèque de l’abbaye de Prés, à Paris, où ils étaient côtés n•· !03t. Les auteurs de l’Hùroln générale du Languedoc (Vaissette et de Vic) disent que ce manuscrit leur a fourni plusieurs faits importants. La modération de l’auteur a fait croire qu’il était catholâue. quoiqu’il fût de la religion lligétendueréfo, du moins en 1561. lorsque œlégionnaires de Montpellier le dépulèrent à la cour pour y faire Yanwlogie de leur conduite, — [ourson (l’abbè C ude-Louis), docteur en Sorbonne et prêtre de St-Sulpice, naquit à Grenoble le 17 avril 1587, et mourut le 30 avril U6 ?. On a de lui : l• De aeptem Ecrlerie sacrouœatù. Paris, 11 !9, ivol. ln-12 ; !•De cpm rez dimnn, 173 !, in-l ! ; 3° De grarie, USS, 2 vol. ln-li ; P De ngaterio eaartissiaue Triniuria er de aagelù, UM, ind !. Ces ouvrages, réimprimes plusieurs (ols, parurent sur le nom de’lfournely, dont labbd lonlagne avait d’ailleurs publié un abrégé de la théologie (soy. Tooaxnr). L—r.

IONTAGNE ÃIÀTIHIIU), peintre et graveur à l’eau-forte, né-a Anvers au commencement du 17e siècle, se rendit fort jeune en Italie et demeura longtemps ll Florence sous la direction de

"·., l10N s·, ·, son compatriote’Jealt, üa•lyIg.’ll vùit du là·)’éta· ·· blir gttiiarii, où il de famille, ui t, en ’, un...¢’·."’“«·’“2Z··..«·., .· sain uyu, Ilaxeelait dans la etltpayaage · par la vérité de [imitation. des sites, a transparences ciels, etde• eaux, elle choix fdes sujets. Il a gravé d’•me pointe spirituelle Inuit paysages et marines, exécuter dans le îoût de Fouquières et très-estimés. Cet habile artiste n }ourut à Paris en t·6’t :·6. î Iohaegîs (Nicolas), tn s du précédent ; eu’ya galement a peinture et la gravure a l’eau«torte. Ne ahris en 163t. il fut élève de Philippe Champagne, auquel il · était uni par les liens de la paranté.h=lJ¤ynait avec un égal succès teportralt et l’h§ re. Les églises de Notre-, des, Fllwth St-Saereme¤t et de Cliampspossédaient

?e, ce-maître des us estimés. En 168t, ll.

ut nommé professeur de’l’Académle. llavait reçu de Jean Morin les principes de la gravure, et il a exécuté dim la manière de ce maître quelipxes pièces d’après Phil. Cliampagne et ses pres compositions. Son chel’·d’œuvre en ce genre est un Clcrùr étendu apr la terre, d’après-PhîEppc · Champagne ; il est remarquable par la’beau de l’exécution., on estime également les’porlraits qu’il a gravés en partie d’après ses propres dessins. Dans toutes ses gravures, il écrit son nom- · de’la manière suivante : Nicolin de la Plmemim ; i ; gne, quoique- son père ne se fit appeler que ¤n¢¤§ne. ’ P—s. ’

MONTAGNINI (cmnnps-lexamî, comte de Mirabello, diplomate Iziémontais fnaquit l, e-12 mai t’(30 à Trlno, vil e de l’anc¤en Montferrat, où son père était notaire. Après avoir reçu une éducation soignée, il alla faire son droit à l’univer sité de Turin. Reçu docteur en H5 !, le jeune Monlagntni fut’, trois ans plus tard, envoyé à Vienne ar le comte Martini de Cgala, pour liquider B succession du général B oira. I/habileté dont il fit preuve dans cette affaire dïlda le comte Canale, ambassadeur de Sardaign auprès de l’empereur, à le prendre pour son secrétaire. Telle fut l’importance des services qu’il, rendit en cette qualité, que le roi Victor-Amé Ill lui conféra en 1773 le titre de comte de Mirabello. Montagnîni fut, deux ans après, nommé ministre plénipotentiaire près la diète de Ratisbonne, puis à à Have en 1778. Revenu à 1’lirin au œmmencemenrde 1790, il reçut la croix de St-Maurice et le titre de président en second des archives de la cour ; mais il jouit (peu de ces honneurs, car il mourut le 19 août e la même année. ttontagnini était lié avec plusieurs hommes illustres de son époque, et surtout avec Mélastase. qui l’a :Eelle dans ses lettres asm euro. IIon /’errino. Les a ives de Turin conservent de lui beaucoup de manuscrits, parmi lesquels : t• Pro monmhia.· c’est un essa sur le gouvernement civil, . où l’auteur traite de la nécessité, de l’origine du